Le haut potentiel nécessite-t-il un repérage précoce ?
Cinq ans, un âge charnière pour identifier le haut potentiel et mieux répondre à des besoins intenses.
De nombreux enfants précoces ne sont pas reconnus en tant que tel par leur entourage familial ou scolaire. Les articles de cette catégorie vous aideront à détecter et identifier un enfant précoce.
Cinq ans, un âge charnière pour identifier le haut potentiel et mieux répondre à des besoins intenses.
Le haut potentiel intellectuel est un phénomène qui suscite beaucoup de curiosité et comprend encore beaucoup d’interrogations, mais sur lequel courent aussi beaucoup de préjugés et de clichés.
Le haut potentiel découvert tardivement peut bouleverser une vie : après l’effet de surprise vient la période d’intégration de la révélation.
Le haut potentiel est sujet à de nombreuses idées reçues ou amalgames. Seule l’identification avec des outils validés par un professionnel permet de lever le doute et de mettre en œuvre les aménagements nécessaires.
Le haut potentiel intellectuel est un sujet dont on parle de plus en plus. Mais entre les faits avérés et les idées préconçues en circulation, il est parfois difficile de savoir ce qu’il en est en réalité…
Peut-on détecter la précocité d’un enfant dès son plus jeune âge ? Quels sont les signes qui, en dehors de capacités « scolaires » très développées, peuvent nous mettre la puce à l’oreille ?
Est-il aisé de se passer de test de QI en cas de suspicion de haut potentiel ? Le recours à cette mesure ne fait pas l’unanimité. Tentons de comprendre ce qui motive, ou oblige, les personnes concernées.
Nous partons aujourd’hui au Québec pour retrouver l’humoriste Louis T dans un épisode non dénué d’humour de la série documentaire « Louis T. veut savoir » consacrée à l’intelligence et aux tests de QI.
Dans une émission récente sur France 3 Bretagne, cinq invités aux profils et aux métiers variés ont pu exposer leurs points de vue sur le haut potentiel intellectuel. Une émission très instructive.
Qu’est-ce que le quotient intellectuel, et comment est-il évalué ? Qu’existe-t-il comme tests, et en quoi diffèrent-ils les uns des autres ? Un article récent du Journal des Femmes aborde le sujet.
Haut potentiel : de quoi parle-t-on ? Que faire en cas de suspicion ? Comment l’accompagner ? Monique de Kermadec vous guide.
Le TDA/H et le haut potentiel intellectuel sont deux phénomènes aux effets opposés qui, lorsqu’ils se conjuguent, rendent souvent compliquée la réalisation d’un diagnostic fiable. Dans une vidéo fort instructive, le professeur Jacques Grégoire, docteur en psychologie nous explique pourquoi et comment il est possible de surmonter cette difficulté.
L’excès d’informations est-il nuisible pour les personnes qui se posent sincèrement la question du haut potentiel ? Chloé Romengas répond à cette question dans un article intéressant et non dénué d’humour.
On ne le répétera jamais assez, une simple liste de signes caractéristiques ne suffira jamais à identifier sans risques un enfant précoce.
Mercredi dernier, sur France Inter, l’émission « Le téléphone sonne » présentée par Fabienne Sintes était consacrée au sujet du haut potentiel intellectuel. Entre thèmes récurrents et interrogations controversées, les auditeurs et les invités ont suscité une discussion animée entre les intervenants.
Un article paru dans Le Point il y a quelques jours nous expliquait l’utilité du test de QI pour détecter les enfants à haut potentiel et, surtout, les risques liés à un autodiagnostic basé sur un ressenti fallacieux.
La semaine dernière, l’émission « Le dossier du jour » sur France Bleu Drôme Ardèche recevait Maéva Roulin, neuropsychologue, et Xavier Blanc, psychologue clinicien spécialisé en hauts potentiels intellectuel. Une émission intéressante à écouter ou réécouter sur EPI.
Dernièrement, l’émission Pause famille sur RCF recevait Lorraine Content, psychologue, pour parler des enfants précoces, de leurs difficultés, des moyens de les reconnaître et des différentes façons de les aider.
Dans un article récent, Le Petit Journal donnait la parole à Pierrick Labbé, un adulte à haut potentiel expatrié au Pérou. Il y gère deux associations dont le but est d’identifier et d’accompagner les personnes à haut potentiel qui rencontrent des difficultés.
La douance : concept, réalité, phénomène de mode ? Au Canada des psychologues sont formés pour éviter des dérives.
Découvrons ensemble le parcours libérateur d’une maman combative qui, face à la souffrance de son fils, refuse les approximations et les jugements trop faciles.
Grâce aux travaux de de Christian Tamarii, professeur engagé, le haut potentiel intellectuel chez l’enfant est une thématique qui tend à se faire mieux connaître en Polynésie aussi.
On a parfois l’impression, en discutant avec son entourage, de rencontrer de plus en plus de personnes surdouées chez des amis, des collègues ou en famille. Mais leur nombre a-t-il réellement augmenté ces dernières années ?
Haut potentiel intellectuel et douleur psychologique sont parfois liés. Il est nécessaire de tenir compte de la charge mentale avant qu’elle ne devienne trop lourde à porter.
Un récent article sur Doctissimo aborde le sujet du test du QI. Quand faut-il le pratiquer, qui est habilité à le faire et est-il nécessaire d’évaluer systématiquement son enfant ?
Quelle est la réalité qui se cache derrière ce terme qui peut sembler barbare à des parents en quête de réponses sur leur enfant, sa personnalité et ses éventuelles particularités cognitives et intellectuelles ?
Il y a quelques jours sur la chaîne de radio RTL, l’émission « On est fait pour s’entendre » traitait des enfants précoces et des moyens de les reconnaître au milieu de leurs camarades.
Un article récent du journal des femmes vient utilement nous rappeler quels sont les signes qui, selon Arielle Adda, doivent interpeller les parents quant à une éventuelle précocité intellectuelle de leur enfant.
L’émission Le téléphone sonne sur France Inter recevait récemment Gabriel Wah, pédopsychiatre et Franck Ramus, chercheur en psychologie et neurosciences au CNRS pour tenter de répondre à cette question, que vous êtes nombreux à vous poser.
Le quotient intellectuel est-il un outil de mesure fiable ? Que mesure t-il exactement ? Faut-il faire passer un test de QI à son enfant ? Découvrons les réponses de deux spécialistes du sujet.
Dans sa chronique mensuelle pour le journal des femmes, la psychologue Arielle Adda insiste ce mois-ci sur le besoin de compréhension et de reconnaissance qu’éprouvent les enfants à haut potentiel.
Une information trop parcellaire ou biaisée sur le haut potentiel peut parfois mener à des interprétations réductrices et à des amalgames qui nuisent aux enfants. Des voix de plus en plus nombreuses s’élèvent pour revenir à plus de rigueur sur le sujet.
Pour répondre à cette question, Wendy Bouchard recevait récemment sur Europe 1 le professeur Gabriel Wahl, pédopsychiatre et auteur du livre « Les enfants intellectuellement précoces ».
Dans certains pays, le dépistage des enfants précoces est effectué de manière systématique. Mais, comme vient le souligner un événement récent, un tel procédé peut devenir problématique lorsque chacun se met en tête d’avoir un enfant surdoué, qu’il le soit réellement ou non.
Les résultats d’un test de QI sont toujours enrichissants. Que faire lorsque ceux-ci révèlent des failles insoupçonnées dans la personnalité d’un enfant précoce. ? Arielle Adda nous livre sa réponse.
Dans un entretien avec le site Migros magazine, Pascal Roman, psychologue responsable de l’Unité de consultation de l’enfant et de l’adolescent à Lausanne, nous pousse à nous interroger sur l’augmentation des demandes de bilans psychologiques de la part des familles.
Dans sa dernière chronique pour le journal des femmes, Arielle Adda s’intéresse de près au cas de ces enfants qui, malgré les évidences, rejettent l’idée même d’être surdoués.
Clothilde Colin, fondatrice du cabinet Ysilde Conseil, spécialisé dans l’accompagnement individuel des enfants précoces et des adultes à haut potentiel nous livre son opinion.
Dans sa chronique mensuelle pour le Journal des femmes, Arielle Adda nous met en garde contre la non prise en compte des failles révélées lors de la passation d’un test de QI pourtant globalement positif.
Dans un article pour le Huffington Post, Tanya Izquierdo Prindle insiste sur la nécessité de coupler le résultat quantitatif du test de QI avec une analyse qualitative de l’enfant.