
Quand le très haut potentiel (THPI) passe sous les radars
Le décrochage scolaire précoce est possible chez l’enfant à très haut potentiel. On vous explique pourquoi et comment ?
Le décrochage scolaire précoce est possible chez l’enfant à très haut potentiel. On vous explique pourquoi et comment ?
Le haut potentiel intellectuel est une notion qui peut, au premier abord, sembler bien vague. C’est quand on y fait vraiment face que l’on se rend compte de toute sa complexité. C’est pourquoi il est important d’en rappeler les bases, aujourd’hui avec une émission du magazine Parents dont Monique de Kermadec, psychologue clinicienne, psychanalyste et auteur d’ouvrages sur le HPI, était l’invitée.
Cinq ans, un âge charnière pour identifier le haut potentiel et mieux répondre à des besoins intenses.
Le haut potentiel est sujet à de nombreuses idées reçues ou amalgames. Seule l’identification avec des outils validés par un professionnel permet de lever le doute et de mettre en œuvre les aménagements nécessaires.
Peut-on détecter la précocité d’un enfant dès son plus jeune âge ? Quels sont les signes qui, en dehors de capacités « scolaires » très développées, peuvent nous mettre la puce à l’oreille ?
Dans une émission récente sur France 3 Bretagne, cinq invités aux profils et aux métiers variés ont pu exposer leurs points de vue sur le haut potentiel intellectuel. Une émission très instructive.
Quelle est l’utilité du bilan psychologique et quand s’avère t-il nécessaire de l’envisager ?
Haut potentiel : de quoi parle-t-on ? Que faire en cas de suspicion ? Comment l’accompagner ? Monique de Kermadec vous guide.
Le TDA/H et le haut potentiel intellectuel sont deux phénomènes aux effets opposés qui, lorsqu’ils se conjuguent, rendent souvent compliquée la réalisation d’un diagnostic fiable. Dans une vidéo fort instructive, le professeur Jacques Grégoire, docteur en psychologie nous explique pourquoi et comment il est possible de surmonter cette difficulté.
On ne le répétera jamais assez, une simple liste de signes caractéristiques ne suffira jamais à identifier sans risques un enfant précoce.
Mercredi dernier, sur France Inter, l’émission « Le téléphone sonne » présentée par Fabienne Sintes était consacrée au sujet du haut potentiel intellectuel. Entre thèmes récurrents et interrogations controversées, les auditeurs et les invités ont suscité une discussion animée entre les intervenants.
Un article paru dans Le Point il y a quelques jours nous expliquait l’utilité du test de QI pour détecter les enfants à haut potentiel et, surtout, les risques liés à un autodiagnostic basé sur un ressenti fallacieux.
Découvrons ensemble le parcours libérateur d’une maman combative qui, face à la souffrance de son fils, refuse les approximations et les jugements trop faciles.
On a parfois l’impression, en discutant avec son entourage, de rencontrer de plus en plus de personnes surdouées chez des amis, des collègues ou en famille. Mais leur nombre a-t-il réellement augmenté ces dernières années ?
Haut potentiel intellectuel et douleur psychologique sont parfois liés. Il est nécessaire de tenir compte de la charge mentale avant qu’elle ne devienne trop lourde à porter.
Il y a quelques jours sur la chaîne de radio RTL, l’émission « On est fait pour s’entendre » traitait des enfants précoces et des moyens de les reconnaître au milieu de leurs camarades.
Un article récent du journal des femmes vient utilement nous rappeler quels sont les signes qui, selon Arielle Adda, doivent interpeller les parents quant à une éventuelle précocité intellectuelle de leur enfant.
Dans sa chronique mensuelle pour le journal des femmes, la psychologue Arielle Adda insiste ce mois-ci sur le besoin de compréhension et de reconnaissance qu’éprouvent les enfants à haut potentiel.
Dans certains pays, le dépistage des enfants précoces est effectué de manière systématique. Mais, comme vient le souligner un événement récent, un tel procédé peut devenir problématique lorsque chacun se met en tête d’avoir un enfant surdoué, qu’il le soit réellement ou non.
Dans un entretien avec le site Migros magazine, Pascal Roman, psychologue responsable de l’Unité de consultation de l’enfant et de l’adolescent à Lausanne, nous pousse à nous interroger sur l’augmentation des demandes de bilans psychologiques de la part des familles.
Dans un article pour le Huffington Post, Tanya Izquierdo Prindle insiste sur la nécessité de coupler le résultat quantitatif du test de QI avec une analyse qualitative de l’enfant.
Un article récent du Nouvel économiste donne des arguments imparables en faveur de la reconnaissance et d’une prise en compte adaptée des enfants à haut par le système éducatif.
Cette question revient souvent parmi vos interrogations sur le forum d’enfants Précoces Info. Tentons d’y répondre simplement.
La détection de l’enfant précoce n’est pas toujours facile. Pourtant de petits signes qui paraissent parfois anodins devraient alerter parents et enseignants.
L’ANPEIP vient de mettre en ligne un MOOC de la Commission scientifique du département d’orthophonie de la Faculté de Nice sur la détection et la prise en charge des enfants précoces par les orthophonistes.
Pour ou contre le détection universelle des enfants surdoués d’âge scolaire ? Répondez à notre sondage maintenant !
Votre enfant est peut-être précoce. Vous avez un doute, étayé par de nombreuses lectures, mais pas de certitudes ? Il est important de lever l’ambiguïté, pour le plus grand bien de votre enfant.
Même si tous les enfants précoces sont différents, il existe des signes caractéristiques récurrents qui, présents nombreux chez un enfant en particulier, peuvent laisser supposer une présomption de précocité.
Ce tableau va vous permettre de juger de l’éventuelle avance de votre jeune enfant par rapport à son âge, aussi bien pour ce qui touche au développement du langage qu’aux activités motrices.