Il n’est pas toujours facile de savoir comment aider son enfant à haut potentiel en difficulté et quels aménagements sont les plus adaptés. C’est pourquoi nous parlons aujourd’hui de l’accélération scolaire, avec un document fort instructif sur le sujet.
L’accélération du parcours scolaire est une étape parfois nécessaire pour éviter la frustration et l’ennui. Deux exemples de réussite nous montrent que malgré les écarts d’âge, gagner du temps est possible et souvent fructueux.
Cette année, Elsa a été l’une des plus jeunes collégiennes à obtenir son brevet des collèges. Scolarisée dans l’Eure, la jeune fille à haut potentiel revient pourtant de loin.
Depuis quelques années, le système scolaire québécois met en place divers aménagements pour les élèves à haut potentiel. Aujourd’hui, c’est de l’accélération scolaire que traite un article publié par le quotidien Le Devoir.
L’accélération du parcours scolaire : l’une des facettes sur lesquelles agir pour combler les besoins des enfants à haut potentiel.
À Brest, le collège Jahouvey a fait le choix de s’adapter pour permettre l’accélération sans saut de classe pour les élèves qui ont besoin d’avancer plus rapidement que leurs camarades. Un exemple à suivre et à généraliser ?
Le saut de classe est une mesure que l’on associe souvent à l’idée même de haut potentiel. Elle suscite néanmoins des réactions diverses tant chez les parents que chez les enseignants. Mais quelle est la part de préjugés dans ces convictions, et à qui le saut de classe s’adresse-t-il réellement ?
L’une des pistes éducatives pour répondre aux besoins des enfants à haut potentiel est l’accélération, mais pour quelles raisons peut-on l’envisager ? Est-elle adaptée à tous les types d’enfants ? Des réponses par des experts québécois en douance.
Le site Eduscol vient de publier un document visant à améliorer la scolarisation des élèves à haut potentiel. Une reconnaissance attendue par beaucoup de parents et le signe d’une prise de conscience accrue des besoins éducatifs particuliers des enfants surdoués.
Le journal Ouest France publie aujourd’hui sur son site le témoignage de Marie, la maman de Sarah, une jeune fille à très haut QI de 12 ans.
Une fois le diagnostic de précocité intellectuel établi par un professionnel se pose rapidement aux parents la question des implications pour la scolarité de leur enfant.
Jusqu’à présent, la recherche de solutions pour les enfants précoces à l’école s’était surtout concentrée sur le délicat passage au collège. Pourtant, la prise en charge dès les premières années de maternelle s’impose si l’on veut éviter les problèmes ultérieurs.
Cet article riche d’enseignements publié par Le Monde revient sur le parcours chaotique de Charles-Pierre Astolfi, bachelier à 13 ans en 2003.
Nous le savons d’expérience, avoir un enfant intellectuellement précoce pose rarement des problèmes avant l’entrée de celui-ci dans la vie scolaire. Avant 3 ans, tout se passe généralement bien et, le plus souvent, les parents trouvent juste leur enfant particulièrement « éveillé« . Parfois même, quand les références manquent dans le milieu familial ou amical, on ne […]