Parmi les multiples aménagements scolaires possibles pour adapter l’enseignement au fonctionnement de l’enfant à haut potentiel intellectuel, l’accélération est probablement l’un des moins contraignants. Bien évidemment, cela dépend toujours du bon vouloir de l’enseignant, mais il nécessite bien moins de formalités et de procédures qu’un saut de classe par exemple, arrangement qui, soit dit en passant, est aussi plus « décisif ».
L’ennui étant une des principales causes du mal-être de certains de ces enfants en classe, l’accélération scolaire semble être une solution tout indiquée. Attention cependant, rappelons que les sources de cet ennui peuvent être diverses, et que les moyens d’y remédier le sont donc tout autant : il existe de nombreux profils d’enfants à haut potentiel intellectuel et les différents aménagements ne conviennent pas nécessairement à tous les cas de figure.
Cela étant dit, nous vous proposons aujourd’hui de parcourir un document très complet sur le sujet, produit par le Comité Douance – Accélération scolaire en lien avec l’Université du Québec à Trois-Rivières. Si cela vous concerne, de près ou de loin, et vous intéresse, vous y trouverez tout ce qu’il y a à savoir sur les types d’accélération, les situations où cet aménagement peut-être utile et même le cadre légal et les réponses aux questions de base que vous pourriez vous poser.
Pour plus d’informations, n’hésitez pas à visiter le site de l’Université du Québec à Trois-Rivières, qui propose de nombreux autres guides, ressources et outils sur l’éducation des enfants à haut potentiel intellectuel.
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Le constat est sidérant.
L’éducation nationale considère la douance comme un handicap.
A contrario, toutes les écoles privées que j’ai contacté considèrent la douance comme un atout, une chance.
Moi qui suis profondément attaché à l’école républicaine, je vais inscrire mon enfant dans une école privée….