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Une belle vision du haut potentiel défendue par une maman convaincue

Le haut potentiel rayonnant selon Virgine Dexet.

L'enfant précoce et son rapport particulier au bonheur

Nous relayons aujourd’hui cet article paru sur « La Montagne » parce qu’il fait du bien, tout simplement !

Virginie Dexet, maman et professeur de sport à Brive la Gaillarde, a été confrontée au haut potentiel voilà 15 ans pour aider l’un de ses élèves, et s’est depuis immergée dans le sujet.

C’est son investissement positif, avec la volonté de redonner au sujet une place favorable, qui nous touche particulièrement.

Sa vison optimiste du haut potentiel :

Elle même dit avoir une vision à contre courant du sujet, un courant qui ne met l’accent que sur des aspects négatifs :

Hypersensibilité, sentiment de solitude, dépression… Le discours dominant sur les zèbres met souvent l’accent sur leurs souffrances et leurs difficultés relationnelles et émotionnelles.
Dans son activité d’accompagnement, Virginie Dexet combat « cette croyance qu’être sensible, intelligent et lucide condamne à une enfance compliquée et sans amis, une vie amoureuse chaotique et un parcours professionnel décousu. « 

Parce qu’elle perçoit le haut potentiel à travers ce qu’il peut produire de beau, de constructif, et y devine une énergie à déployer, son optique est résolument encourageante.

Si vous avez besoin d’être rassurés, encouragés, ou de changer de regard sur vous-même ou vos enfants, un stage auprès d’elle pourrait vous être bénéfique !

Une image à redorer

En effet, nous craignons aussi l’installation progressive d’une forme de connotation négative dès lors qu’on parle de haut potentiel dont la prépondérance masquerait de prime abord aux yeux d’un public non averti tous les côtés positifs.

A l’heure où nous avons besoin de communiquer sur l’utile prise en charge des élèves à haut potentiel dans les établissements scolaires, il est important que les parents et enseignants aient confiance en les capacités de ces enfants, capacités qui ne demandent qu’à s’exprimer dans un cadre et une ambiance favorables. Ils ne sont à priori pas une « charge » mais cheminent sur une voie, parallèle, à ouvrir avec eux avec bonheur.

La Corrézienne se bat pour imposer le sujet et devient formatrice académique (collège et lycée) pour l’accompagnement des élèves à haut potentiel intellectuel. « Ce travail a rebondi sur plein d’autres profils d’enfants : des dyslexiques, des dyspraxiques ou à besoins éducatifs particuliers et plus récemment des enfants à troubles autistiques. « 

Nous conseillons vivement de lire cet article, ne serait-ce que pour vous donner un autre souffle, afin que, grâce à des personnes comme Virginie Dexet, la simple évocation du mot haut potentiel engendre finalement plus de joie et d’espoir que de craintes.

.Lire l’article en entier sur le site de La Montagne


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