Retrouvez dans cette catégorie tous les articles ayant trait de près ou de loin aux rapports entre l’école et les enfants précoces ou surdoués.
La scolarité des enfants à haut potentiel est souvent problématique en France. Pour autant, l’herbe est-elle plus verte chez nos voisins ? En République Tchèque, des difficultés similaires semblent se poser en termes d’identification et d’accompagnement, comme le rapporte un article récent de Radio Prague international.
Le haut potentiel intellectuel est, dans certains pays du monde, une notion encore mal connue des systèmes éducatifs. C’est le cas de l’Ontario, province canadienne, dont nous allons parler aujourd’hui. Dans article récent diffusé par ONFR+, des parents d’enfants à haut potentiels et des professionnels nous expliquent la situation du système éducatif en Ontario à l’heure actuelle.
Le saut de classe est une mesure que l’on associe souvent à l’idée même de haut potentiel. Elle suscite néanmoins des réactions diverses tant chez les parents que chez les enseignants. Mais quelle est la part de préjugés dans ces convictions, et à qui le saut de classe s’adresse-t-il réellement ?
L’une des pistes éducatives pour répondre aux besoins des enfants à haut potentiel est l’accélération, mais pour quelles raisons peut-on l’envisager ? Est-elle adaptée à tous les types d’enfants ? Des réponses par des experts québécois en douance.
Nicolas Gauvrit, Jérôme Pelissier et Nathalie Clobert étaient récemment invités à aborder le sujet du haut potentiel autour du micro de France Inter. Une émission intéressante à écouter maintenant sur EPI.
Et si toutes les difficultés réelles ou supposées de nos enfants étaient plus contextuelles qu’on ne l’imagine ? Un témoignage et un article récents abordent le sujet avec réalisme et enthousiasme.
L’échec scolaire est un sujet souvent présent lorsque l’on parle des enfants précoces Mais ceux-ci décrochent-ils vraiment plus que les autres, et ont-ils plus de difficultés en classe ? Une vidéo instructive tente d’apporter quelques réponses à ces questions.
La scolarité est une question difficile lorsque l’on a un, voire plusieurs enfant précoces. École publique, privée, spécialisée ou non… Aujourd’hui, nous vous présentons une petite vidéo sur une école du réseau Arborescences.
Un article intéressant de Caroline Hache pour le site The conversation fait le point sur la prise en charge et la distinction entre élèves à haut potentiel et très bons élèves à l’école.
Un article de Cécile Charazas publié récemment sur le site The conversation s’intéresse à l’augmentation du nombre de diagnostics réalisés auprès d’élèves considérés à tort ou à raison comme « différents » et ses implications sur la vie scolaire. Discutons-en ensemble si vous le souhaitez.
Récemment, un article dans La presse de la Manche interrogeait Annick Boudet-Leloup, psychopraticienne, sur les difficultés rencontrées par les enfants surdoués à l’école.
Quelles sont les solutions à mettre en œuvre lorsque les enfants surdoués sont en difficulté ? Une émission récente et très instructive sur France Bleu abordait en détail le sujet et les pratiques d’une école spécialisée dans l’accueil des enfants à haut potentiel intellectuel.
Les progrès de la science nous poussent à reconsidérer la façon d’enseigner à l’école et la manière dont les enfants apprennent. Cela ouvre des perspectives nouvelles qui seront bénéfiques pour les enfants surdoués. Petit tour d’horizon.
Un article des Echos plutôt rassurant nous démontre à travers le parcours de quelques jeunes que l’échec scolaire n’est pas une fatalité.
Un article paru dans Le Point il y a quelques jours nous expliquait l’utilité du test de QI pour détecter les enfants à haut potentiel et, surtout, les risques liés à un autodiagnostic basé sur un ressenti fallacieux.
Dernièrement, l’émission Pause famille sur RCF recevait Lorraine Content, psychologue, pour parler des enfants précoces, de leurs difficultés, des moyens de les reconnaître et des différentes façons de les aider.
L’ouverture d’un établissement se proposant d’accueillir les enfants à haut potentiel en tenant compte de leurs besoins éducatifs particuliers est toujours une bonne nouvelle qui mérite d’être saluée.
On parle souvent des problèmes des enfants surdoués à l’école, et notamment de l’ennui qu’ils peuvent ressentir. Quel rythme l’école devrait-elle adopter pour que l’élève à haut potentiel s’y trouve bien ?
Dans se dernière chronique mensuelle, Arielle Adda s’intéresse à la question du saut de classe. Comment en faire la demande auprès de l’enseignant et dans quelles conditions faut-il l’appliquer ?
Un enfant qui s’ennuie à l’école et qui estime ne rien y apprendre doit-il nécessairement sauter une classe ? Le passage anticipé dans le niveau supérieur présente-t-il des inconvénients ? Essayons de répondre à ces interrogations.
Deux articles parus récemment font le point sur la situation des enfants à haut potentiel au Québec. Découvrons ensemble le ressenti des parents et enfants surdoués québécois, et quelles sont les solutions mises en œuvre pour les aider.
Dans un reportage diffusé sur France TV Info deux familles nous livrent leur expérience sur la façon dont elles mettent en œuvre l’école à la maison.
La question de l’importance des limites et d’un cadre éducatif cohérent est primordiale pour donner à son enfant les bases d’une vie en société épanouie.
Lundi dernier, l’émission Envie d’avenir sur RCF recevait Gaelle Ménard, directice et enseignante de sa propre école pour enfants à haut potentiel.
Répondre de façon individualisée aux besoins éducatifs particuliers des enfants surdoués n’est pas toujours facile pour les enseignants. Un article récent du site Le café pédagogique met en lumière les avantages des méthodes d’apprentissage fondées sur des approches plus globales, au niveau de la classe.
Dans son nouveau livre, Juliette Speranza nous propose une remise en question incisive, d’un système éducatif qui laisse trop souvent des enfants au bord de la route alors que des solutions existent.
Le témoignage de Fiona, jeune fille à haut potentiel d’une vingtaine d’années, nous invite à réfléchir sur les solutions adéquates pour nourrir intellectuellement les élèves surdoués et répondre à leur soif d’apprendre.
Les autorités de la province du Québec semblent décider à frapper un grand coup pour améliorer la prise en compte des besoins spécifiques des élèves à haut potentiel à l’école.
Dans une récente chronique pour le journal des femmes, Arielle Adda évoque le parcours scolaire difficile de certains enfants précoces et livre des pistes pour en éviter les embûches.
La période particulière que nous traversons a été l’occasion pour nombre de parents de découvrir la scolarisation à distance et tout ce qu’elle peut apporter tant à l’enfant qu’aux parents.
On dit souvent que les enfants précoces ou à haut potentiel ont des problèmes à l’école. Certains décrochent, d’autres manquent simplement de motivation ; alors que peut-on faire pour les accompagner dans leur scolarité ? Qu’est-ce que les écoles et le système scolaire pourraient mettre en oeuvre pour s’adapter à leurs besoins ?
Il y a quelques jours, l’émission « Parlons-en » sur RCF proposait aux auditeurs d’étudier le sujet du cerveau et des apprentissages, notamment chez les enfants à haut potentiel et les élèves à besoins éducatifs particuliers.
Dans la région de Lyon, un enseignant membre d’Enfants Précoces Info se propose d’ouvrir un établissement scolaire tout particulièrement adapté à la scolarisation des élèves à haut potentiel intellectuel. Découvrons son projet ensemble !
Quitte à sortir du cadre, autant le faire complètement. Une maman témoigne aujourd’hui de son choix différent motivé par ces mots : « Mon enfant avait plein de magie dans les yeux et il avait une curiosité incroyable. L’école est venue effacer toute cette curiosité parce que ça ne rentre pas dans le cadre. »
Créée en 2019 sous l’impulsion de personnalités atypiques, La Neurodiversité-France est une association dont l’objectif est de fédérer les individus et associations militant en faveur de la Neurodiversité. Elle organisait récemment sa première fête de la Neurodiversité, l’occasion d’aborder notamment la question de la place des enfants précoces à l’école.
Pour un enfant précoce qui ne supporte plus l’idée même d’aller en classe, se rendre à l’école peut tenir du véritable calvaire. La tentation de la déscolarisation est alors grande. Que faut-il en penser ?
A Rimouski, au Québec, l’école du Grand-Pavois a mis en place une démarche novatrice pour mieux accompagner les élèves à haut potentiel.
En Belgique aussi, la cause des élèves à haut potentiel, et plus largement celle des élèves à besoins éducatifs particuliers, progresse et l’idée d’une prise en charge adaptée s’impose peu à peu.
Cette semaine, le site L’école branchée nous présente le projet de Julianne Lauzon, jeune élève à haut potentiel québécoise et créatrice de JLS, Julianne Lauzon Sports ou « J’aime les sports ». Un bel exemple d’adaptation éducative de la part de son enseignante, Chantal Leblanc.
Lorsque la scolarité classique ne répond pas aux besoins de certains élèves à haut potentiel, des solutions alternatives existent. Zoom sur l’école à la maison.