Les enfants à haut potentiel intellectuel peuvent souffrir d’anxiété ou de dépression, mais ce n’est pas la règle générale. C’est ce qui ressort d’un travail de recherche dans lequel a été passé en revue un corpus d’études sur ce sujet. Pour leur santé mentale et leur bien-être émotionnel, ils doivent bénéficier d’un environnement éducatif et social adapté, et de qualité.
Dans sa dernière chronique pour le journal des femmes, la psychologue Arielle Adda nous parle de l’anxiété chez les enfants précoces. Pourquoi ceux-ci sont-ils parfois si angoissés ? Comment les aider à surmonter et à combattre l’anxiété qui les mine ?
Cette semaine, radio-Canada aborde le sujet des enfants dits « doublement exceptionnels ». Cette douance assortie d’un trouble tel que l’autisme ou d’un TDAH peut être source de problèmes délicats à résoudre.
Plus que les autres, les adolescents à haut potentiel sont sujets à la procrastination. Pourquoi ce phénomène touche-t-il tout particulièrement ces jeunes et comment y remédier ?
Les enfants précoces nous questionnent et constituent un défi social et éducatif, tant pour les chercheurs, que pour les professionnels de l’éducation, de la santé et, bien entendu, les parents, souvent démunis face au haut potentiel de leur enfant.