10 mars 2022 à 16h04

4. Existence d’une situation propre à l’enfant motivant le projet éducatif

• Une présentation écrite du projet éducatif comportant les éléments essentiels
de l’enseignement et de la pédagogie adaptés aux capacités et au rythme
d’apprentissage de l’enfant, à savoir notamment :
––une description de la démarche et des méthodes pédagogiques
mises en oeuvre pour permettre à l’enfant d’acquérir les connaissances
et les compétences dans chaque domaine de formation du socle commun
de connaissances, de compétences et de culture ;
––les ressources et supports éducatifs utilisés ;
––l’organisation du temps de l’enfant (rythme et durée des activités) ;
––le cas échéant, l’identité de tout organisme d’enseignement à distance participant
aux apprentissages de l’enfant et une description de la teneur de sa contribution ;
• Toutes pièces utiles justifiant de la disponibilité de la ou des personnes chargées
d’instruire l’enfant ;
• Une copie du diplôme du baccalauréat ou de son équivalent de la personne
chargée d’instruire l’enfant ;
• Une déclaration sur l’honneur de la ou des personnes chargées d’instruire
l’enfant d’assurer cette instruction majoritairement en langue française (cf. annexe
Cerfa 16212, modèle de déclaration sur l’honneur d’instruire majoritairement
en langue française dans le cadre d’une demande d’autorisation d’instruction
dans la famille disponible sur le site service-public).

10 mars 2022 à 16h01

Faire l’école à la maison est toujours encore possible mais sous régime d’autorisation. Cela signifie que pour commencer l’école à la maison en septembre 2022, il faut demander l’autorisation entre le 1er mars et le 31 mai 2022.

Peut-on toujours faire l’école à la maison en septembre 2022 ?

8 mars 2022 à 12h49

Bonjour,

Notre fille est en terminale et au CNED depuis la sixième, nous sommes plutôt bien placés pour témoigner sur le sujet.

Nous avions choisi le CNED pour les raisons suivantes après avoir regardé les différentes offres :
– La pédagogie du CNED lui convenait
– Les cours du CNED correspondent parfaitement au programme demandés pour le Brevet et le Bac
– Les élèves ont un bulletins scolaire pris en compte pour les examens, par exemple cette année notre fille a exactement les même épreuves que les élèves en lycée (les deux spécialités + philo + grand oral) et le reste en contrôle continu.

Pour Hattemer : la pédagogie ne convenait pas du tout à notre fille et nous ne voyions pas l’intérêt d’avoir deux ans d’avance dans les apprentissages, c’est déjà bien de maîtriser le programme officiel (Et notre fille est HPI, elle a déjà deux ans d’avance).

Pour les cours PI, notre fille a trouvé que ça manquait d’exercices d’application et que les cours très colorés étaient complexes à lire.

Pour les cours Legendre, la pédagogie ne lui convenait pas, trop rigide.

Pendant le collège, nous n’avons pas ajouté de manuels complémentaires et de cours particuliers, les cours du CNED étaient suffisamment complets. Par contre je mettais en place un planning périodique chaque année, et je contrôlais régulièrement l’avancée des cours, je surveillais également la réalisation des devoirs. Mis à part cela elle travaillait seule. Ça me prenait en gros une journée par semaine.

Pendant le lycée, les choses ont changé. Notre fille nous a demandé de l’aide à la fin de la seconde, nous avons pris un prof particulier en maths et pour les deux langues. Nous avons également acheté des manuels complémentaires dans ses deux spécialités, ainsi que des Annabacs. Le planning est toujours présent, par contre plus de séances de révision avec elle depuis la seconde, elle travaille seule. Je fais le point avec elle chaque fin de semaine et nous parlons de ses cours comme le ferait un élève au lycée.

Notre avis concernant le CNED, ça reste l’éducation nationale, donc les choses ne bougent pas vite. Depuis qu’elle est en cinquième les cours sont en partie en ligne, il y a du bon et du mauvais.

Le + :
– Nous devions bouger avec plus de 10kg de livres, avec les cours en ligne nous imprimons une partie des pdf et le reste est en ligne et sur l’ordi.
– Les activités sont un peu plus interactives.
– Le système de tutorat permet d’échanger rapidement avec les profs.
– Les correcteurs sont assez sévères, donc lorsque les devoirs sont fait en conditions réelles le niveau est souvent meilleur qu’au lycée, nous avons pu le voir au Brevet et aux épreuves anticipées.

Le – :
– Au démarrage c’était la cata complète, aujourd’hui l’interface fonctionne correctement par contre il reste encore des erreurs dans les cours suite au changement de programme.
– L’élève passe sa journée devant l’ordi et il faut une connexion haut débit. Il est donc indispensable d’organiser des activités extra scolaires.
– Les élèves écrivent moins avec les activités interactives, mais ça je sais que c’est pareil au lycée.
– Notre fille postule en prépa, les établissement sont un peu frileux avec les bulletins du cned étant donné que personne ne surveille les conditions dans lesquelles les devoirs sont fais, du coup il faut faire des concours pour valider son « vrai »niveau.

Aujourd’hui nous ne regrettons pas ce choix, notre fille non plus. Elle n’a pas souffert du manque d’interaction avec les enfants de son âge, elle les retrouve pendant des activités extra scolaires. Nous bougeons beaucoup à l’international pour notre boulot (c’est pourquoi notre fille est au CNED), du coup elle voyage beaucoup avec nous, ça vaut toutes les cours de récrées.

Les points important que nous avons retenu :
– Le planning de travail est indispensable, sinon l’élève se noie très vite.
– L’élève doit être autonome, sinon c’est un boulot à plein temps pour le parent.
– L’élève doit comprendre que le copie des cours pendant les devoirs n’a aucun intérêt.
– Enfin l’élève doit avoir son propre ordinateur et une bonne connection internet, il n’est absolument pas envisageable qu’ils suive ses cours sur l’ordinateur familiale dans la salle à manger.

Si vous avez des questions je me ferai un plaisir de vous répondre.

12 novembre 2020 à 20h15

Bonjour Fleur 33, notre fille de 14 ans a commencé son année de première début septembre. Elle est un peu anxieuse aussi devant la quantité importante de travail.

Je lui prépare chaque année un planning pour qu’elle sache à chaque moment ou elle se situe dans le programme, je surveille la réalisation des devoirs en suivant le planning fourni par le CNED pour vérifier qu’elle ne prend pas trop de retard (honnêtement elle n’a jamais renvoyé l’intégralité des devoirs).

Et pour les spécialistes qu’elle va garder en première (maths et physique), je lui ai trouve des manuels complémentaires pour l’aider, les cours de maths sont un peu lights et encore pas mal de boulette dans les activités et les pdf.

Si votre fils a déjà fait une classe de première, il a une bonne idée du programme, et il a surement retenu des notions, ce qui va lui alléger la charge de travail.

Il faut l’encourager et l’aider à s’organiser et il peut aussi contacter les tuteurs ou le prof principal.

Bonnes soirée

9 juin 2019 à 11h39

Bonjour Lili44, il ne faut pas attendre de miracle avec le résultat du test, si votre fils est diagnostiqué EPI, les choses ne vont pas changer radicalement pour vous et pour les enseignants du jour au lendemain.

Si il est agressif, c’est qu’il ressent un mal être. Si ça vient de l’école dans laquelle il se trouve, il faut le changer d’environnement, si ça vient d’autre chose, il faut trouver les bonnes solutions.

Ce n’est pas tous les jours facile, mais nous devons prendre les choses du bon côté, nos enfants ont des capacité d’apprentissage au dessus de la moyenne, avec le monde qui se prépare, ce sera une force, ils ont plus de chance de ne pas faire partie de cette « classe inutile », non diplômée, qui n’aura plus sa place dans cette nouvelle société.

L’école ne peut pas faire de miracle, à moins de bien tomber, ce qui n’arrive pas souvent. Ces enfants ont souvent besoin qu’on leur explique le pourquoi du comment, qu’on ne leur impose pas des choix en leur servant « c’est comme ça un point c’est tout », et c’est ce que fait l’éducation nationale aujourd’hui.

21 avril 2019 à 23h14

Bonsoir,

Ma fille a été diagnostiquée THQI à 7 ans, elle était plutôt bien intégrée dans son école. Elle a fait le CP et le CE1 dans la même année, lorsque qu’elle est passée en CE2, ça c’est bien passé, mais en CM1, ça a commencé à se gâter, avec un an d’avance, elle était en tête de classe, elle a commencé à être mise à l’écart par ses camarades. EN CM2, toujours en tête de classe et de plus en avance par rapport à ses camarades de classe, elle a été malmenée toute l’année par quelques élèves plutôt médiocres et mise à l’écart par l’ensemble de la classe. Plus l’année avançait, plus elle était absente, je ne pouvais me résoudre à la mettre à l’école quand je la voyais touchée par le comportement de ses camarades. Elle a fini son année comme ça, et a terminé en se disant qu’elle était plus que ravie de passer au CNED pour le collège. Une réussite !

Au bout de cinq mois de sixième, le CNED l’a fait passée en cinquième. Aujourd’hui elle est en troisième, elle vient juste d’avoir 13 ans et ne veut pour rien au monde retourner à l’école pour le moment. Plusieurs amis enseignants en collège et lycée que je connais la trouve épanouie et me disent que c’est la meilleure chose pour elle d’être au CNED. Quand ils la voient travailler et qu’ils comparent avec ce qui se passe dans leurs classes, ils me disent de ne surtout pas la rescolariser avant les études supérieures.

Lorsqu’elle était en primaire, les enseignants ont bien sur pris en compte sa précocité, elle avait plus de travail que les autres et l’enseignant lui demandaient souvent de jouer le rôle de tuteur auprès des élèves qui avaient des difficultés, c’est une très bonne méthodes avec les enfants HP. Et bien le résultat a été édifiant, les autres élèves l’ont mise à l’écart pendant la récrée et passaient leur temps à lui poser des questions idiotes pour l’empêcher de travailler. Et pourtant elle était dans une école à pédagogie Freinet en petits groupes. Son enseignant en CM2 ne nous a jamais rien dit pour les nombreuses absences qui n’ont pas été justifiées, il a tout tenté pour mieux l’intégrer dans le groupe classe et juguler les enfants qui la malmenaient, mais n’étant pas aidé par les parents (parents d’enfants mauvais en classe qui nous détestaient parce que notre fille est THQI…no comment), il nous a conforté dans notre choix de la scolariser au CNED.

Aujourd’hui je n’imagine pas un seul instant la mettre en seconde au lycée à 13 ans. Elle a la maturité pour les cours, elle a beau être grande physiquement, ça reste une enfant de 13 ans, encore un peu enfant. Elle n’a pas de portable, n’a pas encore eu de petit copain, l’écart serait abyssal avec des ados de deux ans de plus qu’elle. La différence se fera moins ressentir dans 3/4 ans, lorsqu’elle commencera ses études supérieures.

A votre place Mimib, je la déscolariserais. Pour moi c’était un crève coeur de récupérer ma fille lorsque le soir elle était complètement dépitée devant la bêtise et la méchanceté des ses camarades, je lendemain je ne pouvais pas me résoudre à l’emmener à l’école.

emilielille59, oui il y a des docs d’aménagement pour ces enfants, mais peu d’enseignants y sont sensibilisés, nombreux sont ceux qui ne veulent pas en entendre parler parce qu’ils ne veulent pas le boulot que ça représente en plus et dans de nombreuses classes les élèves sont beaucoup trop nombreux pour faire de la pédagogie différenciée. A moins d’avoir la chance de tomber dans une classe avec un enseignant motivée et un effectif réduit, les enfants HP s’ennuie et prennent souvent l’école en grippe. Sans parler du comportement des autres enfants par rapport à leur différence.

24 décembre 2017 à 0h04

Bonsoir, ma fille a fait une série de test sur 2 jours, ce n’était pas seulement un test de QI mais plusieurs tests. Tu devrais peut-être effectivement rechercher un autre psy. j’en avais trouvé un sur les conseils d’une amie, spécialisée en neurologie infantile et associé à une orthophoniste. Il était très bien, a mis effectivement deux semaines pour nous donner les résultats, mais nous a fourni un compte rendu de 15 pages reprenant tous les tests effectués et nous a donné des conseils dans ses apprentissages.

Bon courage pour la suite bon réveillon de Noël.

12 novembre 2017 à 14h26

Si je pense que tu devras renvoyer le dossier médical chaque année, mis à jour. Les plus casseriez, ce n’est pas l’inspection, c’est le CNED. De notre côté, cette année comme l’année précédente nous avons justifié notre demande par nos nombreux déplacements professionnels, le CNED a bloqué l’inscription parce que l’inspecteur n’avait pas précisé « sur le France » sur le feuillet de demande d’autorisation? j’ai du renvoyer l’intégralité du dossier transmis au rectorat au CNED…

10 novembre 2017 à 18h43

Bonjour, Ce n’est pas une lettre motivation mais un courrier expliquant pourquoi nous demandons l’autorisation pour une année réglementée, et effectivement à refaire chaque année. Et pas à la rentrée scolaire, mais fin juin. Le CNED n’est pas du genre véloce pour enregistrer les inscriptions réglementées et envoyer les cours papiers.

4 novembre 2017 à 15h24

Ma fille a passé ce test au même âge avec aussi des résultats hétérogènes, et un désintéressement total pour les activités monotones. Le psy nous a donné un QI moyen, qui pour nous n’a aucune importance. Nous nous sommes surtout attachés à ses remarques pour adapter ses apprentissages. Nous y étions allés pour évaluer un risque de retard au niveau visio spatial, donc pas dans l’expectative de calculer un QI.

Au final cela nous a été d’une grande utilité dans ses apprentissages.

Nous savions depuis un moment qu’elle était HPI, elle a aussi appris à lire en grande section et bien sûr d’autres aspects. Nous avions choisi une école où la notation sous n’importe quelle forme n’existait pas et où elle pouvait travailler à son rythme (Freinet). Depuis la sixième elle est scolarisée au CNED et continue à progresser à son rythme.

Il faut être à l’écoute de votre fille et adapter sa scolarité en fonction de ses besoins. Le désintéressement en classe est une des principales sources d’échec des petits zèbres. Et les notes n’ont aucun intérêt au primaire, les enfants sont en train d’apprendre les fondamentaux, ils ont le droit de se tromper.

Si elle ne veut pas sauter de classe, il ne faut pas le faire. De plus ce n’est pas la meilleure solution, les notions non vues risquent de n’être jamais abordées, ce qui peut être handicapant pour la poursuite de ses études.

Il et il faut bien être conscient que les enseignants en primaire ne sont pas formés pour gérer les enfants qui ne vont pas au même rythme que les autres, qu’ils soient en retard ou en avance. Souvent, la meilleure solution est la scolarisation à l maison si vous ne trouvez un établissement qui lui convient.

3 novembre 2017 à 13h38

Tu es professeur dans quelle matière ? Je suis prof dans le supérieur ! Moi aussi je vois les dégâts du système d’instruction, j’ai une majorité de Bac S dans mes classes et le niveau en sciences est déplorable. L’établissement est obligé de plus en plus de faire des cours de soutien en maths et physiques pour reprendre des notions du lycée voire du collège qui ont été oubliées.

Quand je dis que les établissements publics ne balayent que les deux tiers du programme, c’est une généralité, heureusement qu’il y a quand même de bons élèves qui sortent du lycée. Tout dépend de l’établissement et de l’équipe pédagogique.

Comme Françoise, nous avons fait le choix du CNED réglementé, pour et du CNED tout cours pour coller au programme. Et je ne me sentais pas du tout de prendre 100 % en charge l’instruction de ma fille, je n’en ai absolument pas le temps.

Concernant l’ennui, ma fille le rencontre parfois avec les cour du CNED, si elle a bien compris, elle passe plus vite, et si ce n’est pas le cas, nous trouvons des motivations. L’avantage avec la scolarisation à la maison, c’est qui si vraiment un jour elle manque totalement de motivation pour travailler, elle n’est pas obligée de rester en classe, elle fait autre choses et déplace son travail sur le week-end.

Je lui fait un planning annuel qui lui permet de savoir ou elle en est, si elle a pris de l’avance, ou du retard et d’organiser son planning. Elle en ait conscience, c’est carrément du luxe par rapport aux élèves qui doivent suivre le rythme de la classe !

31 octobre 2017 à 12h00

Bonjour Chinniac,

Ma fille est haut potentiel, le CNED lui a fait faire la sixième et la cinquième en un an, pour suivre son rythme, sans que je demande quoi que ce soit.

Effectivement il n’y a aucun contrôle lorsque l’enfant est inscrit en CNED réglementé. Il yb a juste un contrôle à propos des devoirs, s’il y a un gros retard, il peut y avoir un contrôle. Mais ça dépend de la situation de l’élève. De notre côté, notre fille n’est pas toujours dans de bonnes conditions pour travailler, du coup il y a des trous dans l’envoi des devoirs. Il suffit ue je prévienne son conseiller de scolarité.

Par contre, il faut une bonne raison pour que le règlementé soit accepté. Le haut potentiel n’est généralement pas suffisant. En ce qui nous concerne, nous bougeons professionnellement sur la France, du coup nous avons reçu l’accord tout de suite l’année dernière, sachant que j’avait bien appuyé sur le fait que notre fille était HPI et qu’elle avait besoin d’une adaptation de ses apprentissages.

Et comme le dit Celena et je le disais dans ma première réponse, les CPC fournissent des échantillons, c’est bien pour se faire un avis.

1 octobre 2017 à 13h54

Bonjour,

Ma fille de 11 ans est scolarisée au CNED depuis un an. En septembre 2016, elle est rentrée en sixième réglementée. C’est vrai que les cours ne sont pas spécifiquement adaptées aux enfants précoces, mais le cned fait preuve d’une certaine souplesse. Elle a pu passer en cinquième en janvier et est passée en quatrième en septembre dernier.

Dans le cadre des cours réglementés, les parents ne choisissent pas le niveau, c’est l’inspecteur et le CNED qui le le valide. Dans le cadre de l’IEF, l’enfant doit passer un test dans une école pour déterminer le niveau.

Les cours sont bien faits, sans être parfaits, et pleinement adaptés pour un apprentissage en pleine autonomie. Nous intervenons uniquement lorsqu’elle rencontre des difficultés (moins d’une mois par semaine en moyenne, les explications sont suffisamment clairs), pour contrôler ses apprentissages avant chaque devoir et pour voir ensemble les corrigés des devoirs lorsque cela est nécessaire.

Je suis d’accord avec Françoise, prendre un niveau au dessus ne présente pas d’intérêt pour l’enfant, il risque fort de passer à côté d’apprentissages fondamentaux. Si votre fils va lus vite, il aura la possibilité de faire deux années en une, tout en balayant l’ensemble du programme.

11 avril 2017 à 19h44

Je viens de trouver un article qui résume très bien le quotidien avec un enfant précoce :

http://www.huffingtonpost.fr/sandrine/mon-fils-est-un-enfant-a-tres-haut-potentiel_b_8590064.html

Le plus important à prendre en compte, c’est la pensée en arborescence, qui entraîne effectivement des problèmes dans notre système scolaire prévu pour la pensée séquentielle. Et l’obligation de tout expliquer, mais cela, vous devez être habituée depuis les premières paroles.

Bonne soirée !