@paquerettes
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21 août 2019 à 20h15
Mes 3 zèbres ont été propres vers 2 ans pour « le pipi », sans trop de difficultés. Par contre pour les selles, ça a été beaucoup plus compliqué : panique, constipation, nous suppliaient de leur mettre une couche… il a fallu beaucoup les rassurer, leur expliquer le cheminement des aliments, leur transformation dans le ventre et le résultat. Finalement problème résolu avec la propreté nocturne vers 2 ans et demi, quand on a définitivement supprimé les couches!
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4 février 2018 à 10h02
Bonjour,
Votre fils semble présenter les caractéristiques d’un enfant précoce. Je m’interroge également pour mon fils de bientôt 4 ans actuellement en PS de maternelle , ou plutôt je me demande comment faire reconnaître à l’équipe enseignante la précocité de mon fils, car pour moi c’est une évidence . Il est différ en des enfants de sa classe. Depuis qu’il sait parler, les questions sont incessantes, il est très curieux , veut tout comprendre . Ses remarques sont très pertinentes . Il connaissait les couleurs en français et en anglais , les lettres, les chiffres… bien avant son entrée à l’école. Il était ravi et impatient d’entrer à l’école et au bout de 3 jours, ne voulait plus y aller. C’était des pleurs tous les matins, « je ne veux pas aller à l’école « , je ne veux pas faire la sieste » (à la maison, il n’en a plus besoin depuis longtemps). Son grand frère étant lui même HPI , je reconnais toute les caractéristiques dans son comportement . Dernièrement , nous avons eu un entretien avec la maîtresse qui nous a décrit un enfant totalement différent de ce qu’il est avec nous. Elle le décrit comme timide, hypersensible , ne sachant pas tenir un crayon, ni découper correctement avec des ciseaux. Il sait à peine reconnaître son prénom sur son étiquette (à la maison, il nous épelle le nom des copains de sa classe, sans modèle ). Quand on lui demande ce qu’il fait à l’école, il nous répond « rien ». Nous avons évoqué son éventuelle précocité avec la maîtresse, mais elle dit qu’il est trop tôt pour savoir et que ce n’est pas le problème du moment, qu’il fallait d’abord travailler sur sa timidité et sur son hypersensibilité . Nous ne savons pas trop quoi faire et en avons un peu assez de ne pas être cru et de toujours devoir tout prouver (meme vécu avec son grand frère, chez qui la précocité à ete identifiée plus tard par méconnaissance du sujet). Il est encore jeune et l’emmener voir un psy me semble un peu prématuré . Qu’en pensez vous?
Mon message est un peu long, mais ça fait du bien de se confier.
Bonne journée et bon courage à tous -
29 novembre 2017 à 15h49
Bonjour Sonia,
je reconnais également mon fils quand vous décrivez Ismael. Mon fils est âgé de 9 ans, il a également vu plusieurs psy, car son comportement à la maison était très difficile à gérer. Il présentait par ailleurs de grandes facilités intellectuelles depuis tout petit, ce que l’enseignant de maternel nous avait fait remarquer.
C’est en primaire que les choses se sont dégradées, surtout à la maison, il est devenu de plus en plus ingérable (crises, colères, impossible de lui faire faire ses devoirs…) et pourtant, tout allait bien à l’école autant son comportement que son travail scolaire. En CP, CE1, CE2 nous entendions le même discours : c’est un très bon élève, »il est bien dans son niveau », sauf que moi j’avais l’impression qu’il régressait : fautes d’inattention, erreur bêtes, manque de concentration. Son cartable était rempli d’histoire inventées qu’il rédigeait, de dessins qu’il faisait pour s’occuper. Il n’a jamais été perturbateur en classe, il était plutôt rêveur en classe et provocateur à la maison. La démarche de lui faire passer des tests est venue de nous et les résultats ont donc été difficiles à admettre par les enseignants. Je vous passe les déboires que nous avons eu avec la première psychologue, un peu la même expérience malheureuse que vous. Et enfin, il y a un an, deuxième avis par neuropsychologue et résultat : notre fils est HPI. On nous a expliqué que lorsque les choses étaient trop simples, il se trompait par manque d’intérêt et donc de concentration. C’est paradoxal, mais quand c’est facile, il échoue, quand c’est difficile, il réussit. On a tenté d’expliquer cela à l’école, non sans mal. Nous avons d’abord essayé d’éviter le saut de classe, mais l’ennui était trop présent, après une mûre réflexion, nous avons décidé en cours d’année, de le faire passer dans la classe supérieure. C’est un pari, nous espérons ne pas avoir fait le mauvais choix et remercions son enseignante qui a pris en compte notre demande. Depuis, le travail est plus difficile, il a plus de devoirs, mais enfin, il fait des efforts et pour l’instant ça se passe plutôt bien, quant au comportement à la maison, peut mieux faire, mais on progresse.
Alors courage, le parcours est long, semé d’embuches, mais gardons espoir. -
25 mai 2017 à 22h10
Bonsoir,
Nous avons vécu un peu la même situation avec notre fils de 8 ans : comportement semblable et résultats du WISC ininterpretables. Il a passé d’autres tests dont le K-ABC (qui permet de faire abstraction de l’anxiété, si j’ai bien compris) et tests d’attention et de personnalité qui ont permis de conclure à un Haut potentiel intellectuel.
N’hésitez pas à prendre un second avis dans un centre spécialisé.
Bon courage -
19 mai 2017 à 22h03
Bonsoir,
Moi aussi je recherche un psy dans l’Aisne pour le suivi de mon fils dont les tests, passés sur Amiens, ont révélé un Hpi. Nous habitons près de Laon. Avez-vous eu des réponses ? Avez-vous un ou des professionnels connaissant bien la précocité à nous recommander ?
On se sent un peu seuls, lachés dans la nature avec notre diagnostic et ne savons que faire. Nous avons informé l’école, mais il ne se passe rien.
Merci pour vos conseils.
Bonne soirée -
3 mai 2017 à 18h22
Bonjour,
Moi aussi j’ai 3 garçons dont le deuxième de 9 ans est HPI et peut-être ses frères aussi (mais nous ne les avons pas fait testes). Ce qui a motivé le passage des tests, c’était son comportement à la maison : il ne supporte aucune contrainte, tout est source de conflit (la douche, les repas, les devoirs…). Il nous provoque, s’en prend à son petit frère, surtout lorsqu’on est pas loin. Il négocie tout et ce se termine généralement par des crises de colères, des « personne ne m’aime « , puisque vous ne m’aimez pas, tuez-moi! ». Difficile à encaisser en gardant son calme. Depuis qu’on sait qu’il est Hpi ça va un peu mieux, certainement parce sinon a adapté notre comportement. A l’école ça va pas trop mal, c il a toujours été excellent élevé (n’a pas sauté de classe), mais j’ai l’impression qu’il régresse tout en restant excellent, son comportement ne pose pas trop de problème à l’école, il se défoule à la maison !
Avez-vous essayé la discipline positive? Ça marche pas trop mal (jane Nelsen)…
Bon courage! -
1 mai 2017 à 22h35
Bonsoir,
Je vis exactement les mêmes choses avec mon fils de 9 ans et pourtant le papa est présent. Lui comme moi se fait insulter dès qu’on lui impose quelque chose. Nous aussi limitons le temps passe sur les jeux vidéo (tablette, console…), il n’a pas le droit d’y jouer la semaine et seulement de façon limitée le WE. Son comportement lorsqu’il joue à ces jeux me fait penser à celui d’un toxicomane, il est incapable de s’arrêter et devient très agressif lorsqu’on le dérange ou lui demande d’arrêter. Comme vous, la tablette a volé la dernière fois qu’il était l’heure d’arrêter. Nous avons donc supprimé le problème : il n’y a plus de tablette!une fois la tempête passée, nous arrivons à discuter avec lui, il regrette ses gestes violents et ses paroles, cette impulsivité le rend triste. Lorsqu’il nous insulte (« ta gueule »), nous gardons notre calme (pas facile), l’isolons dans sa chambre), puis revenons discuter lorsqu’il est calmé…
Pas facile, mais que faire d’autre?
Je comprends vos difficultés, mais ne culpabilisez pas, ce n’est pas forcément parce que vous êtes seule qu’il réagit ainsi. Si vous avez trouvé la solution, je suis preneuse ! Bon courage
