@marta-ts
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28 janvier 2017 à 19h12
Bonjour,
Tenez bon ! 5 et 7 ans c’est des ages difficiles surtout avec des enfants précoces ! Et la séparation doit être difficile pour tout le monde. Peut être que votre fils pense qu’il doit prendre la place de son papa ? Essayez de lui dire que ce n’est pas le cas. 🙂
J’ai des enfants qui sont un peu similaires aux vôtres. En Ariège nous avions un très bon psychologue qui a beaucoup aidé mon fils et une association de parents d’enfants précoces très active. Ce psy est également sur Toulouse. Si vous êtes dans ce coin là je peux vous donner leurs coordonnées. Souvent les problèmes « dys » peuvent être réglés par se bonnes séances de psy.
Et puis vous dites qu’ « il ne voulait déjà plus travailler », il ne faut pas s’en inquiéter, il n’a que 7 ans et les enfants précoces ne comprennent souvent pas le travail très répétitif fait à l’école. Je ne fais que rarement faire les devoirs à mon fils puisque souvent il a déjà assimilé en classe. Par contre je lui apporte beaucoup de stimulation intellectuelle parce qu’il est en demande et ça le calme.
Bon courage en tout cas !
Marta. -
11 octobre 2016 à 9h01
Je me demande si ce serait possible de l’impliquer plus dans sa scolarité en lui proposant d’aider justement ceux qui n’y arrivent pas ?
En tout cas ça me rassure de voir qu’il a une vraie vie sociale. Mon fils en CM1 a beaucoup de mal avec ses camarades et on est impatients de voir comment ça va se passer au collège !
Bonne chance pour l’entretien ! -
11 octobre 2016 à 8h33
Bonjour Lydie,
C’est très difficile de faire confiance à l’éducation nationale, mais heureusement il y a beaucoup de personnes au sein de celle-ci qui sont bienveillantes à l’égard de nos enfants, il faut juste prendre le temps de discuter avec elles sans se braquer. Allez voir des professeurs, le CPE, le proviseur… juste pour dire : « je suis inquiète, que faire? » et j’espère que vous serez agréablement surprise par la réponse (comme nous l’avons été).
Votre fils « s’ennuie », dites vous, est il en souffrance? C’est vrai que nous, parents de zèbres, avons tendance à trouver dommage que nos enfants n’exploitent pas plus leur potentiel; mais ils en ont le temps et toute leur vie devant eux ! Proposez lui des activités stimulantes en dehors de l’école si possible et surtout : respectez son choix de ne pas vouloir sauter à nouveau une classe !
J’espère que tout va s’arranger pour vous et surtout pour votre fils! bon courage!
Marta -
1 octobre 2016 à 13h12
Bonjour Virginie,
Si ça peut te rassurer j’ai été confrontée au même problème avec ma fille et ça s’est résolu tout seul… enfin avec beaucoup de patience ! Pour exemple: a 3 ans environ elle s’était mis en tête d’apprendre à écrire les chiffres parfaitement et elle a passé une soirée à hurler assise à son bureau jusqu’à y arriver… Pour des parents artistes, très cool, et plutôt adeptes de la procrastination, je te laisse imaginer le stress ! mais on a laissé faire en expliquant que l’erreur était normale. Notre grande qui est au collège maintenant garde un côté perfectionniste dans les domaines qui l’intéressent mais sait se montrer « je-m’enfoutiste », comme tous les ados, dans les autres !
Bon courage! et patience surtout !
Marta -
23 septembre 2016 à 11h37
Bonjour,
Mon fils zèbre de 9 ans a de grosses difficultés d’écriture. Petit il ne dessinait pas parce que selon ses dires : « ma grande sœur et maman dessinent assez bien pour moi ! » a l’école ça a été la catastrophe avec heureusement des instits compréhensifs qui ont essayé par tous les moyens de l’aider. Et puis récemment, le miracle! son père lui a offert un beau carnet cuir avec un stylo de grand (argenté et tout et tout!) et il a dessiné! bien en plus! et écrit! et la main s’est décrispée, le geste s’est délié!
Il n’écrira jamais très bien, mais n’est ce pas le cas de la plupart des médecins? son grand père qui est scientifique, n’arrive parfois pas à se relire!
Moi même je n’ai jamais bien écrit et mes cahiers n’ont jamais été soignés. et on ne m’a pas emmené voir de psychomotricien, ni autre.
Est ce qu’il ne faut pas juste dédramatiser, proposer des activités manuelles qui détendent le geste et laisser venir?