7 novembre 2016 à 14h55
Bonjour Amaya!
Je suis touché par votre (ton?) message.
Je te rassure (j’espère du moins):
L' »annonce du diagnostic » / le moment où on prend connaissance / conscience de notre douance est souvent une étape très intense sur le plan émotionnel, peut soulever quantité d’interrogations et susciter de nombreuses pensées, qui ne sont pas forcément toujours sereines!
Je partage cette aversion pour les étiquettes et j’éprouve également une grande réticence vis-à-vis des tests, énièmes façons réductrices de mettre des êtres vivants dans des cases…
Puisque son orthophoniste a déjà pris en compte sa douance et se comporte avec elle de façon adaptée à sa zébritude je ne suis pas certains que des tests soient absolument indispensables pour avancer.
Le dialogue avec elle, la lecture de livres comme « Trop intelligent pour être heureux » (Jeanne Siaud-Facchin vient bientôt pour une conférence à La Réunion), la rencontre avec d’autres personnes à rayures pourraient peut-être aider?
Je pensais proposer mon numéro de tel mais