@isabellem
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15 mars 2019 à 21h17
Bonjour, avez-vous contacté les CMP ou CMPP ? L’attente est théoriquement longue avant le premier rdv, mais suivant la situation ils font des exceptions. J’étais à bout le jour où je les ai appelé. Impossible de parler avec la personne que j’avais en ligne tellement j’ai pleuré. J’ai pris sur moi pendant de nombreuses années avant de finalement craquer le jour où je les ai appelé pour avoir un rdv. Rdv que j’ai eu deux jours plus tard. Cette prise en charge à fait beaucoup de bien à mon fils et moi. Sans être pour autant la solution miracle. Mais beaucoup de bien quand même.
Et je vous confirme que votre fils n’est pas le seul responsable de tout ce qui se passe à l’école. Ils ne sont pas suffisamment bien formés, ou informés. La méconnaissance de nos petits zèbres provoque malheureusement des dégâts.
Je vous souhaite bon courage.
Tenez nous informés.
Isabelle -
8 février 2019 à 7h57
Bonjour, ce qui a vraiment fait du bien à mon fils c’est de se retrouver avec d’autres zèbres. Je vous conseillerais de vous inscrire dans une association qui offre des temps de partage et d’activité. Et je prendrais également rdv avec les responsables de l’établissement pour les alerter sur ce changement de comportement. Les enfants HP sont malheureusement souvent harcelés, et très dissimulateurs. C’est également arrivé à mon fils et ça l’a énormément perturbé. Bon courage à vous. Tenez nous au courant.
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6 février 2019 à 23h31
Bonjour, zèbre ou pas votre loulou a besoin qu’on l’aide à se sentir mieux. Changez de psy, faites d’autres tests, pas uniquement le wisc, vous pouvez élargir chez un neuro psy. Tapez à plusieurs portes. Avez-vous essayé le CMPP ? Le médecin scolaire ? Si votre fils a confiance en l’instit dont vous parlez elle peut peut-être le rassurer et lui expliquer que c’est important qu’il joue le jeu lors des nouveaux tests.
Lorsque j’ai composé le numéro du CMPP de mon secteur, mon fils et moi étions au bout du rouleau, vraiment. Pendant de nombreuses années, du CP au CM2, nous avions essayés de nous débrouiller. Médecins, psychologues, psychiatres. Qui n’ont pas tous eu le même avis. Jusqu’à ce que je ne puisse plus porter toutes ces difficultés et contradictions à bout de bras. Ce qui nous a fait du bien c’est la prise en charge par le CMPP et en parallèle l’entrée en 6ème dans une classe pilote qui intégrait une poignée de HP en difficultés. Cette 6ème c’est le médecin scolaire qui m’en avait parlé. Il y a également les associations a qui vous pouvez vous adresser. En tout cas ne restez pas sur ce résultat qui ne vous satisfait pas et surtout qui ne vous aide pas. -
21 octobre 2018 à 7h56
Bonjour, je pense comme Françoise que vous devriez effectuer un nouveau bilan. Par contre ce serait bien il me semble de faire un bilan chez un neuropsychologue, qui ne se contentera pas du test de QI mais qui élargira son investigation. A l’issue de ce bilan vous recevrez des conclusions détaillées pour vous, et des recommandations pédagogiques que vous pourrez utiliser pour le PAP. Mon fils et moi sommes passés par le WISC4 en CP et un bilan complet chez une neuropsychologue en CM2. Le second bilan à largement compléter le premier. Ça se passe en plusieurs scéances. Vu mon « état » les deux fois, j’avais opté pour faire les bilans en libéral pour que ça aille plus vite. En parallèle j’avais comme vous contacté le CMPP. Un an après Timothé a commencé l’art thérapie. Et encore un an après il a commencé la psychomotricité. Je pense qu’il ne faut pas avoir peur du résultat du bilan. Qu’il soit ou non haut potentiel il a besoin qu’on s’occupe de ses particularités et qu’on le rassure. Le bilan chez le neuropsychologue comme nous l’avons vécu pourrait vous donner de bonnes pistes. Je vais conclure sur le collège. Nous avons eu la chance que l’entrée en 6eme de Tim cohinside avec l’ouverture dans notre département d’une classe d’intégration d’EIP en difficulté. Le processus de passe sur deux ans, 6ème 5ème, mais même si ça signifie pour Tim de partir le matin à 6h30 et de revenir à 19h et passer de long moments dans les transports, il a absolument tenu à rester dans le même collège pour la 4eme et la 3eme. Tout n’est pas gagné, mais on a bien avancés. Et c’est grâce aux multiples démarches. Ne vous découragez pas. Revoyez le médecin scolaire. Rejoignez une association de petits zèbres. Votre généraliste peut peut-être vous diriger vers des spécialistes en libéral.
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16 octobre 2018 à 19h23
Bonjour Elena, j’ai également un zèbre de 12 ans, en 4eme. Depuis le tout début de sa scolarité les devoirs sont tout simplement un calvaire. Il n’apprend jamais ses leçons, il n’y arrive pas, ce qu’il retient c’est ce qu’il a entendu en cours. Et l’état de ce qu’il produit par écrit, c’est un vrai torchon, voire pire. Pour s’y mettre c’est une bataille sans fin. Et ça fini bien souvent comme vous le décrivez vous même. Je passe par différentes phases qui vont me faire tenir bon jusqu’à ce que j’obtienne gain de cause. Et d’autres durant lesquelles je suis moins regardante. J’aimerais lui apprendre le goût du travail fait et bien fait, mais pour le moment j’en suis encore bien loin …
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16 octobre 2018 à 19h07
Bonjour, Alexa. Pour ma part j’ai un zèbre de 12 ans qui a sauté le CE2. Qui est maintenant en 4ème et qui va nettement mieux depuis qu’il est rentré au collège dans une classe spéciale intégrant 6 zèbres en difficulté dans une classe standard.
Son petit frère de 7 ans est quand à lui beaucoup plus à l’aise à l’école mais avec des particularités sur des détails (comme des chaussettes), assez prononcées. Et le petit dernier de 20 mois qui ne parle toujours pas, contrairement à ses frères qui parlaient parfaitement à cet âge, mais qui comprend tout, depuis vraiment très longtemps, que ça en est parfois déstabilisant.
Bienvenue 🙂 -
19 septembre 2018 à 13h17
Bonjour, mon fils vient de rentrer en 4ème. Il a bénéficié pendant deux ans du dispositif EHP du collège de Fontaine. Dès les premières semaines ce dispositif a été bénéfique pour lui. Les années école primaire ont été un cochemard au point qu’il me disait vouloir arrêter de vivre. Depuis son entrée au collège je n’en n’ai plus jamais entendu parler. Il s’est fait des amis, ce qui ne lui était jamais arrivé, et les enseignants sont particulièrement bienveillants. Timothé a fait parti de la première vague d’EHP. En deux ans les enseignants ont suivi plusieurs formations qui leur permettent de progressivement vraiment répondre aux besoins particuliers de nos petits zèbres. Bien que Tim aurait aimé que le rythme soit plus soutenu. Il vient donc de rentrer en 4ème et a absolument voulu rester dans le collège, bien que le dispositif ne soit que sur deux ans, et bien qu’il doive prendre le car à 6h40 pour être en cours à 8h00. Pour nous, ce dispositif est une réussite.
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28 mars 2018 à 16h29
Bonjour,
Pour le test il faudra débourser aux alentours de 300€. Le test se déroule en trois parties. Un premier entretien pour vous, sans votre enfant. La passation des tests à proprement parler pour votre enfant, sans vous. Et la restitution pour vous deux. Vous pourriez également contacter un CMPP.
Cordialement
Isabelle -
9 mai 2016 à 20h47
Bonjour, honnêtement je ne sais pas quoi vous répondre. Pour ma part j’ai inscrit mon fils justement pour que ses années collège soient moins éprouvantes pour lui, et pour moi, que ce qu’il vit à l’école depuis le CP. J’ai demandé conseil autour de moi. Autant dans ma famille, mes amis, le corps enseignant et médical. Tout le monde a été unanime. Tout le monde pense que ce sera mieux pour lui. Maintenant c’est vrai qu’ils n’ont pas d’expérience. Mais je me dis que ça aura au moins l’avantage de le faire se sentir moins seul. Et puis ça me permettra aussi peut-être de rencontrer d’autres parents qui sont dans la même situation que moi.
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4 mai 2016 à 11h02
Ça y est. Notre rencontre avec le principal du collège est terminée. Il ne s’agit pas en fait de l’ouverture d’une classe pour enfants précoces mais de l’intégration d’un petit groupe de zèbres dans une classe de sixième classique. L’équipe pédagogie va recevoir une formation dans les semaines qui viennent. Et sera également conseillée durant l’année scolaire par l’équipe pédagogie d’un collège de Chambéry qui a mis en place le même dispositif il y a 5 ans.