@isa-lise
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Isa LISE
Participant3 septembre 2019 à 6h00Bonjour,
Etant donné vos ressentis et le retour de votre fille, ce mutisme et ce « je ne l’aime pas » pourraient indiquer qu’elle ne s’est pas sentie reconnue et en tout cas que le courant n’est pas passé. N’hésitez pas à tenter quelqu’un d’autre, le mieux étant quelqu’un de conseillé.
Bonne journée.Isa LISE
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Isa LISE
Participant29 novembre 2018 à 20h21Calculer un QI, ce n’est pas si simple lorsque l’enfant cumule avec une dyspraxie. Et, pour l’enfant, c’est très compliqué à gérer car il possède à la fois un cerveau rapide et un corps de personne âgée (ou bébé quand jeune) comme l’a très tôt dit une de mes filles…
Si vous voulez, voilà un article que j’ai écrit à propos de la multi-dyspraxie : http://apprendreavecbonheur.blogspot.com/2017/10/journee-dun-ado-multi-dyspraxique.html
Lorsque l’enfant cumule avec le haut potentiel, c’est un yoyo permanent et une raison de fatigue. Pour beaucoup le sentiment d’imposture est au rendez-vous.
Même s’il est petit, il serait intéressant de réfléchir à un ordinateur car les dyspraxiques-dysgraphiques fatigueront toujours… En attendant, l’idéal est un secrétaire.
A savoir l’espoir existe : ici ma fille a 17 ans, est à la fac et pourtant dyspraxique et à haut potentiel. 🙂 Maintenant la clé est la suivante : développer ses points forts et apprendre à compenser/gérer ce qui pose problème.
Bonne soirée ! -
Isa LISE
Participant16 novembre 2018 à 10h01Bonjour,
Merci de cet accueil 🙂
Désolée de ne pas avoir répondu plus tôt, j’étais un peu débordée ces derniers jours. 🙂
Merci Lisa de votre retour sur mon livre. 🙂Merci Françoise de votre retour 🙂
A l’âge du collège, tout dépend de vos choix. 🙂 Le brevet n’est pas obligatoire et pour ma part, même si enseignante, je n’aurais pas pu suivre dans toutes les matières si j’avais voulu jouer les profs. Mais j’ai suivi une autre approche basée sur les intérêts de mes enfants et cela leur a parfaitement réussi. 🙂
En fait les deux filles, toujours sans lycée et sans cours par correspondance, ont même décroché le bac. L’une a d’ailleurs eu la mention bien, celle qui a eu l’instruction la plus libre, la plus basée sur la motivation intrinsèque.Maintenant ce qui est difficile c’est de voir comment procéder autrement et de garder confiance. Je ne vais certainement pas prétendre que c’est facile car j’avais peur de me tromper lorsque j’ai pris ce pari fou.
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Isa LISE
Participant16 novembre 2018 à 9h55Bonjour,
Longue expérience dans le domaine, expérience vécue avec mes deux filles et aucun regret !
Enfin, elles ont pu apprendre à leur rythme. Accélérer, ça c’est ce qui vient à l’esprit en premier, mais aussi et surtout approfondir et selon moi c’est encore plus important pour nos zèbres ! Si vous voulez, je blogue depuis le premier jour sur le sujet, le premier blog a disparu mais vous pourrez quasiment tout retrouver sur celui créé il y a 3 ans : http://apprendreavecbonheur.blogspot.frPour répondre à la remarque précédente, mes filles ont un profil hétérogène et comme nous avons commencé lorsque la plus jeune avait 6 ans, elle n’était pas autonome. 🙂
Il est aussi important de comprendre que ça n’a rien à voir avec le métier de prof. Un prof doit maitriser son sujet et gérer une classe. Lorsqu’on pratique l’instruction en famille, on peut apprendre avec l’enfant ou bien même il va apprendre seul dans certains domaines. Il s’agit dans ce dernier cas de l’aider à trouver les bons interlocuteurs et des outils. Bon, vraiment, il y a beaucoup de pistes pour se repérer sur le blog, je l’ai crée dans l’optique d’aider les familles.
Le plus dur, c’est de se consacrer du temps, de ne pas devenir juste une maman dévouée donc pensez à vous. Là aussi j’ai créé un petit outil gratuit « 10 clés pour une instruction en famille réussie ». Je n’indique pas le lien car site commercial, mais vous le trouverez facilement si vous allez sur mon site. Si souci, il y a une boite à contact, je conseille bénévolement des familles depuis 11 ans. 🙂
En tout cas ici les années sans école sont nos plus belles années partagées !Bonne réflexion