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adleza
Participant13 novembre 2018 à 15h07Je me permets de poser une question : est ce que la maitresse qui compte lui donner des devoirs plus à son niveau compte le faire dans toutes les matières ou pas ? Parce que il me semble que les instit ne sont jamais vraiment sure d’eux dans ce genre de cas, peur d’aller trop vite, d’un manque de maturité de l’enfant (ce qui est et sera le cas de toute façon puisqu’avec leur grande lucidité nos enfants sont en décalage le plus souvent entre leurs capacités cognitives et leurs maturités affectives, mais ce n’est n’est certainement pas en le frustrant de façon cognitive que cela ira mieux ), et j’en passe,… Dans un sens ils ont raison, mais quand nous sommes parents d’enfants qui fonctionne différement cognitivement parlant c’est une grande différence et un fossé peu se former entre attente parentale et surtout les attentes scolaire de l’enfant et les difficultés de l’enseignant à trouver sa place lui aussi. Le challenge ici pour ce que je comprend, est de faire comprendre à l’instit que pour le bien être scolaire de votre enfant, il est essentiel qu’il puisse se situer en CM1/CM2 et savoir que l’année prochaine il sera question d’un éventuel passage en 6ème (mais de cela l’instit n’est nullement responsable au vu que c’est à l’inspecteur d’académie que revient le dernier mot).
Euh, je ne suis pas certaine d’être bien claire dans mon écrit, et pourtant ce que je veux dire est très clair dans ma tête lol (comme quoi, cela n’arrive pas qu’aux enfants :p) -
adleza
Participant13 novembre 2018 à 9h30Bonjour,
j’ai eu le cas pour G2 qui a fait CP et CE1 en même temps mais officieusement. C’était complexe pour lui de comprendre vraiment dans quelle classe il était, mais la maitresse est partie sur une explication de test. En fait il était en CP/CE1! Pour ses copains, il disait qu’il était en CP et en test CE1, et c’est très bien passé.
La maitresse a fait la demande en fin d’année scolaire pour un saut de classe en CE2, nous avions fait le dossier ensemble, et comme son suivit en CP/CE1 portait en fait sur les cours de CE1 il n’y a eu aucun souçis au vu qu’il avait largement le niveau.
Ce qui m’a pris en patience il est vrai, c’est surtout la case classe à faire comprendre à G2 et à la famille aussi du coup. On ne savait pas trop certaines fois si il suivait CP ou CE1 au vu de ce qu’il racontait. Et puis nous avons arrété de nous poser la question pour que lui arrête aussi de s’encombrer de ce détail. Parce qu’en fait, oui, ce n’est qu’un détail. Nos enfants ne rentrerons jamais dans les cases du conformisme scolaire, alors nous avons pris le pas de lui faire comprendre à cette occasion sa différence et sa chance justement de ne pas rentrer dans celles-ci, parce que du coup le champ des possibles est ouvert. Il est très réceptif, et à « vachement » aimé cette idée.Voilà, peut être un retour d’expérience qui pourra aider.
Adleza
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adleza
Participant11 novembre 2018 à 22h22Bonjour, La seconde à été catastrophique et pourtant nous l’avions mis en lycée privé ou soi-disant le heut potentiel était connu, mais pour G1 il était déjà trop tard. Le mal est fait.L’intégration sociale partiellement impossible, incompréhension de lui, des profs, du système scolaire, désullusion d’un enfant qui voulait apprendre et qui ne veut plus apprendre, qui ne veut plus être lui, qui se mésestime, qui perd sa joie de vivre. G1 est aujourd’hui déscolarisé, il fait sa première S CNED, mais c’est un parcours long, douloureux, rempli de lacune, de stress hyperencombrant rien que de part le rapport scolaire. C’est compliqué, …. Très compliqué ….
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adleza
Participant11 novembre 2018 à 22h02Bonjour, dans un système scolaire classique, oui, il est possible d’avancer avec nos enfant. Pour quelles raisons te demande t’elle de voir la psy scolaire ? Pour le tester ? ou pour mieux connaitre ces particularités ? Je trouve super qu’elle veuille se renseigner. Je ne suis pas certaine (juste par trajet personnel avec mes enfants) que la psy soit la mieux placer pour former l’équipe éducative (pas par manque de compétence, attention, je ne dis pas cela), mais par manque de temps surtout. Parce que pour l’avoir vécu, un prof c’est bien, mais l’équipe éducative, c’est mieux. Qu’informer n’est pas former et que juste une « petite » information n’est pas forcément suffisant, et pas forcément personnalisé à l’enfant, car ils ont beau être HP, ils ont chacun leurs particularités, et c’est LA que c’est parfois compliqué. Il y a possibilité de demander à l’AFEP ou l’ANPEIP de ton secteur de voir avec la directrice pour soutenir un projet d’intégration de l’enfant EIP dans une structure classique, mais c’est selon leur disponibilité. Il y a aussi les référents EIP qui sont censés (oui, je dis censé car dans mon département, depuis la démission du dernier il y a plus d’1 an nous n’en avons toujours pas) exister dans chaque département et qui peuvent énormément aider dans cette démarche (renseigne toi auprès de ton académie, rien que sur le site internet, tu peux le trouver).
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adleza
Participant10 avril 2018 à 9h19J’ai répondu à un autre poste précédemment je ne fais pas de publicité juste des renseignements que je donne à cogitoz reims il y a une psychologue clinicienne ainsi qu’une neuropsychologue en cours d’installation centre cogitoz donc spécialisé en zèbre sur Reims.
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adleza
Participant7 mars 2018 à 0h43Bonsoir, c’est moi qui avait écrit ce post … Je pense qu’un rendu peut donner idée d’un développement de ce PAP. Dorénavant, mon ainé va sur ces 16 ans dans 2 mois. Le collège, ce collège, l’éducation nationale, une horreur. Mais pas le choix, on se conforme …. Mon fils est entré en seconde cette année, mésestime de lui même, tout le collège n’a été que … rien …. Des professeurs incompétents (quand au bout de quelques années ils ne comprennent toujours pas la différence entre la croyance d’avoir un Einstein en classe et un enfant qui apprend tardivement qui il est, comment il fonctionne, et toujours en position de fainéantise pas top!) et bien oui je le dis ils sont incompétents. J’ai brassé du vent mis de coté l’essentiel en faisant confiance à une équipe destructrice et lui galère … Bref, non, le PAP n’est pas réponse à quoi que ce soi tant que la formation des prof ne changera pas!
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adleza
Participant15 juillet 2017 à 19h32Bonjour,
Je connais la dysynchronie, mon fils aîné en souffre aussi. Il a été détecté tardivement, à ma demande parce qu’il avait perdu sa joie d’apprendre et je le trouvais limite dépressif. Bref, la dysynchronie peut se présenter de manière différente pour les enfants, mais pour le mien, c’est déjà que sa tête va plus vite que ces mains, une fatigabilité très importante à la grapho (travaillé un temps avec une graphothérapeute mais malheureusement, comme elle nous l’a bien expliqué nous nous y sommes mis trop tard mais bon, heureusement avec la MDPH nous avons pu mettre en place l’ordi), une difficulté dans les double tâches du fait de son besoin de perfectionnisme (ça perso je n’avais pas remarqué, mais tout est relatif, même le perfectionnisme), et une maturité (et une détection HP tardive) affective non en lien avec son QI ce qui fait un QI … incalculable mais élevé. Nous avons essayé beaucoup de chose et nous sommes loin d’avoir trouvé toutes les solutions. Là, il passe au lycée et nous allons bosser pendant les vacances sur la notion d’apprendre à apprendre. Ca parait bête, mais lui quand il comprend ça lui va,… Au lycée la donne ne sera pas la même et les lacunes s’accumulent. Personnellement, je vous conseillerais d’allé voir une psychologue clinicienne afin de faire un bilan et peut être d’être orienté vers des professionnels dont votre enfant aura besoin. Il existe d’autres tests aux coté du WISC qui permettent d’établir d’autres liens parfois.
Par qui aviez vous fait passer le test ? -
adleza
Participant15 juillet 2017 à 10h38Bonjour, j’ai été et je suis encore dans cette même situation de difficulté de communication d’avec les enseignants. Ma force à été un moment le référent EIP qui a permis de faire passer le message du « attention il est différent » par une personne neutre. Nous en tant que parent, nous ne sommes guère pris au sérieux et considérés comme non objectif par les instituteurs. Leurs propos sont parfois violent, tout comme la vision qu’ils ont de nos enfants si particulier. Cela fait 10 ans que je rame encore pour l’aîné, le second n’est pas mieux considéré du haut de ces 5 ans, et le dernier de 4 ans n’en mène pas large avec un instit qui lui dit qu’il n’a pas le droit de savoir plus …. Moi de vous dire que nous ne pouvons dans certains lieu (je veux dire école, collèges, …) que compter sur nous même et Dieu sait combien c’est compliqué …. Si je le pouvais financièrement, je changerais tous le monde de lieu et m’assurerais qu’ils soient dans des lieux adaptés car quand pour nos enfants c’est compliqué (malgré que pour beaucoup de zèbre cela ce asse au mieux)^pour nous c’est parfois destructeur ….
Faites avec votre cœur pour aider votre enfant à la maison, parlé avec lui, ne vous reprocher pas de vous inquiété pour lui ou d’en faire trop comme parfois les instit le reproche, et surtout ne lui laissé pas perdre sa soif d’apprendre, son plaisir à connaitre, sa joie de comprendre. -
adleza
Participant3 octobre 2016 à 13h25mon fils non testé 3 ans 1/2 qui joue avec ses dinosaures avant le repas ce midi : « eh maman t »as vu, le tyrannosaure prend le stégosaure par ses plaques osseuses, le retourne sur le dos, et hop, comme ça il peut passer à table en même temps que nous. je peux le prendre avec moi à table du coup, hein maman ? »
:p
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adleza
Participant3 octobre 2016 à 13h21Bonjour, selon mi, le test est une chose bien qui permet d’orienter, de conforter et d’informer les personnes concernées. En tant que parent et vis à vis de l’éducation nationale, j’ai eu du mal à trouver ma place et celle de mon enfant. Et puis tester, et puis après quoi ? le fait de le savoir doit faire avancer les choses pour l’enfant, pas juste amener des questions supplémentaires (quoique parfois nous pourrions remplir un bouquin de 600 pages en questions …..). le fait de le savoir doit amener maintenant quelques pistes à leurs apprentissages, voire leurs futurs apprentissages? qu’est ce qui t’a amené à les faire tester ?
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adleza
Participant3 octobre 2016 à 13h15Bonjour, est ce que tu as joint le référent EIP de ton académie ? >>Il est habilité à venir faire une formation/information à toute une équipe enseignante afin d’amener des pistes de réflexion à chacun. Comme tout le monde le sais, les instit font à leur jus, mais une fois informés ils réfléchissent, et le référent EIP peut proposer des pistes de travail et d’amélioration de la scolarisation de tes enfants. Ne lâche rien pour eux, c’est long, mais plus c’est pris tôt, plus le jeu pour tes enfants en vaut la chandelle (vécu ….). des projets doivent être mis en place, mais tu ne pourra le faire seule contre le sytème éducatif, il faut travailler avec eux, et avec les bonnes personnes qui sont les référent EIP. (et les seuls reconnus de toute façon dans la plupard des cas ….) En collaboration avec l’infirmière scolaire aussi …..
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adleza
Participant3 octobre 2016 à 13h00Bonjour >Danette avez vous des nouvelles à nous transmettre de votre grand bonhomme ? Je sais que votre sujet date un peu, mais je viens ici marquer le nom du référent EIP à Reims qui est connaisseur de la particularité de nos bouchons, c’est Mr Durieux.